les quatre barbus - le triomphe de l'anarchie скачать видео бесплатно


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Загружено: 2009/03/16

les quatre barbus - le triomphe de l'anarchie

album: Chansons Anarchistes

LE TRIOMPHE DE L'ANARCHIE Chanson de Charles d'AVRAY.

Tu veux bâtir des cités idéales,

Détruis d'abord les monstruosités :

Gouvernements, casernes, cathédrales,

Qui sont pour nous autant d'absurdités.

Dès aujourd'hui vivons le communisme,

Ne nous groupons que par affinités,

Notre bonheur naîtra de l'altruisme,

Que nos désirs soient des réalités.

Refrain :

Debout ! Debout! Compagnons de misère,

L'heure est venue, il faut nous révolter,

Que le sang coule et rougisse la terre,

Mais que ce soit pour notre liberté.

C'est reculer que d'être stationnaire,

On le devient de trop philosopher.

Debout ! Debout ! Vieux révolutionnaire

Et l'Anarchie enfin va triompher !

Empare-toi maintenant de l'usine,

Du capital ne sois plus serviteur,

Reprends l'outil et reprends la machine,

Tout est à tous, rien n'est à l'exploiteur.

Oui, la patrie est une baliverne

Un sentiment doublé de lâcheté

Ne deviens pas de la viande à caserne

Jeune conscrit, mieux te vaut déserter.

Debout ! Debout! Compagnons de misère,

L'heure est venue, il faut nous révolter,

Debout ! Debout ! Vieux révolutionnaire

Et l'Anarchie enfin va triompher !

Tous tes élus fous-les à la potence,

Lorsque l'on souffre on doit savoir châtier,

Leurs électeurs fouaille-les d'importance,

Envers aucun il ne faut de pitié.

Que la nitro comme la dynamite

Soient là, pendant qu'on discute raison,

S'il est besoin, renversons la marmite,

Mais de nos maux, hâtons la guérison !

Debout ! Debout! Compagnons de misère,

L'heure est venue, il faut nous révolter,

Que le sang coule et rougisse la terre,

Mais que ce soit pour notre liberté.

C'est reculer que d'être stationnaire,

On le devient de trop philosopher.

Debout ! Debout ! Vieux révolutionnaire

Et l'Anarchie enfin va triompher !

Комментарии

10 years назад

feuque gougueul

Une pensée à Louis Ségeral (voir "increvables anarchistes", qui avait une petite boîte de charpente, ou lui ingénieur, touchait le même salaire que le balayeur (mais je doute qu'il y en ait eu un).Coopérative, mot galvaudé par les bourgeois.

10 years назад

feuque gougueul

Les Auberges de Jeunesse, Juste après la Libération!Mes parents s'y sont connus, je m'y suis élevé, et le soir au feu de camp, c'était alternance de chansons de ce genre, ou plus douces...A 4 pattes, je suis devenu libertaire, et mon "parrain athée" était Mario Marret qui me fascinait!On parlait espéranto pour certains, Fourier, phalanstère, monde idéal, mais hélas, faut pas marcher sur les pieds des stals, et il y en avait!

10 years назад

Michel Davesnes

Vous n'avez pas honte de faire la promo des disques de Le Pen ? Je plaisante, bien sûr, mais c'est vrai que ce disque a été produit par Le Pen et sa maison de disques Serp.

10 years назад

Lulubelle Padieu

Mais c'est juste une belle chanson, il n'y a pas de quoi en faire tout un plat ! Les gens de l'époque y croyaient et ils avaient de la chance d'avoir encore un espoir en l'avenir et en des jours meilleurs... maintenant c'est fini, c'est la fin des haricots, les compagnons de misère sont enterrés et oubliés, il n'y a plus d'espoir.

10 years назад

Liberty Equality

@samados969Pourquoi de telles pensées étranges?!? Israël n'est pas intéressé à détruire la France. Le sionisme n'est que de l'Etat juif d'Israël et non sur des intrigues dans d'autres pays.Chaque nation devrait jouer leur propre jeu eux-mêmes et ne pas interférer dans les autres. Tout le monde a suffisamment de problèmes pour eux-mêmes et il ne fait aucun sens même de créer plus. Vivre et laisser vivre!

11 years назад

Thierry Mellarede

Quelle civilisation n’a jamais rêvé de cité idéale ? Aussi loin que remonte la mémoire collective, nous y retrouvons les traces de ces Utopia, bien avant que Thomas More n’invente à la Renaissance le mot latin se traduisant par le lieu que n’existe pas. Nous y découvrons, par leur situation topographique, leur agencement, les aspirations propres aux hommes qui les ont créées.Au-delà de l’utopie architecturale, les murs de la cité idéale sont la métaphore de l’organisation sociale, politique et économique de la communauté elle-même. Lorsque l’architecte Hipodamos, au cinquième siècle avant Jésus Christ dessine les plans de la ville de Milet, il met en pratique un découpage physique de la société idéale : les habitants y seront séparés selon leurs classes sociales, philosophes et prêtres, guerriers ou travailleurs artisans et agriculteurs, ils se retrouveront sans distinction pour gérer la cité sur l’agora, point névralgique de la cité.Cette organisation spatiale qui transpose l’organisation sociale et politique dans le concept architectural se retrouve dans les écrits de Platon, lorsqu’il déclare que ce ne sont pas les murs qui font la cité, mais les hommes. Bien que brocardée par ses contemporains, notamment Aristophane, le plan de Milet influencera le tracé de villes comme Turin au dixième siècle ou encore les damiers de New York ou Washington à la fin du dix-septième.Dès l’antiquité, le rôle primordial de la cité est d’offrir la sécurité. Elle doit apaiser l’Homme, le rassurer. Elle doit le protéger de toute agression. Elle va donc se renforcer, se fermer, se replier.Héritage de la Pax Romana (paix romaine), l’habitat dispersé dut se regrouper dès les invasions gothiques, maures ou visigothiques. La menace de ces dévastations incita les populations à se regrouper autour de l’église, du château. Clergé et seigneurs n’eurent ainsi aucun mal à imposer taxes et impôts : taille, dime, corvée. La protection, divine ou armée, avait un coût. Circulades et bastides sont les témoins de l’épopée médiévale de l’urbanisme. En anneaux pour les unes ou en damier pour les autres, elles se sont adaptées aux nouvelles exigences des habitants. La cité est souvent intimement liée à l’activité de l’Homme. La proximité du lieu de travail est primordiale pour l’employeur. La cité doit s’adapter et se développer au plus près de la source d’emplois.Humaniste, visionnaire, l’industriel Godin imagine une cité idéale où loger les ouvriers qui fabriquent ses poêles à bois ou à charbon. Il souhaite des habitants heureux qui feront de bons ouvriers. L’opération s’avère une réussite totale. Godin s’enrichit, améliore la solidarité de son familistère qui, au-delà du confort d’habitat, construit un véritable système de protection sociale avant-gardiste.Toutefois, son exemple ne sera pas suivi à la lettre par les propriétaires de mines. Ces derniers, préférant à l’humanisme un paternalisme plus orienté sur le bâton que la carotte, se contenteront, avec les corons, de rapprocher les mineurs de la mine. A l’inverse de Godin, leur objectif s’arrête là, leur idéal ne sera pas celui des mineurs. Les corons, cités idéales de l’identité d’une classe sociale subissant l’oppression, mais génératrices de révolte. Les murs de la cité et les parois de la mine incitent à la rébellion, battant en brèche la citation de Platon.Nouveaux corons, les cités HLM des années cinquante ont réitéré leurs erreurs. Certes proches du lieu de travail, elles seront rapidement dénoncées pour la violence et la délinquance qu’elles génèrent, dès lors que le travail si proche se raréfiera ou disparaîtra. Les « barres » du « 9-3 » sont régulièrement citées comme zones de non droit où ne règnerait que violence et délinquance. Il est difficile de déterminer qui est victime ou bourreau du béton ou de la racaille.Sans idée de retour à la nature ni vision futuriste, ces cités ont seulement intégré des contraintes de production industrielle. L’efficacité du modèle architectural industriel et sa logique fonctionnelle sont transposées de manière brutale à l’habitat et aux bâtiments publics construits sans aucun souci d’esthétisme ni de décoration. A partir du vingtième siècle, la cité aura à répondre au besoin de plus en plus insistant d’un idéal social, du bien-vivre ensemble dans le respect de chacun.Mais la problématique de la concentration urbaine qui s’accentue avec l’industrialisation entraîne inévitablement des zones d’habitat insalubres, dégradées, vandalisées, notamment en périphérie. Les architectes ont alors essayé d’apporter une réponse en imaginant des cités jardins : les villes sont largement arborées et cernées d’une couronne de terres agricoles où l’on implante également les industries. C’est la ville à la campagne, réunissant les avantages des deux environnements. Très théorique, seulement adapté pour une ville nouvelle, le concept ne peut que s’appliquer partiellement lors de rénovations de quartiers. Toutefois, la communauté d’Auroville en Inde, ou la mégapole de Brasilia ont prouvé qu’une telle solution alternative pouvait fonctionner. Malgré tous les progrès accomplis, la surpopulation, l’avancée démographique inexorable de l’être humain empiétant chaque jour un peu plus sur les terres disponibles pour se loger et implanter ses industries deviendra un problème insoluble. La chanson Le Triomphe De L'Anarchie nous rappelle que si « Tu veux bâtir des cités idéales, Détruis d'abord les monstruosités ».Nous finirons par nous trouver confrontés à l’antithèse de la citation de Platon, les murs finiront par faire les cités. En 2000, le groupe toulousain Zebda évoquait dans sa chanson « Tomber la chemise » une cité avec ce que la colère ou le béton ont fait de meilleur. La solution pourrait venir d’un projet tel que celui de Sea Orbiter : le vaisseau errant sur les mers du globe en autonomie pourrait-il se convertir en une solution pour le manque d’espace vital ? La part de rêve de Jules Verne incarnée par son héros le capitaine Némo ou par sa ville flottante et la curiosité charismatique du commandant Cousteau ont probablement guidé Jacques Rougerie dans la conception de sa nef. Plus radicale encore serait la solution de coloniser Mars : deux cent mille volontaires ont déposé leur candidature au départ pour la planète rouge dans le cadre du projet Mars One. Utopique ?

11 years назад

Anas AndCompagny

+Jean Beaufort explique en quoi le communisme et l'anarchisme sont des erreurs,et s'il te plait,si tu es bourgeois ça ne sert à rien de répondre,car tu ne verras que ton intérêt.

11 years назад

Jean Beaufort

Anarchie et communisme, deux erreurs de l homme...

11 years назад

Néo Man

Karl Marx n’était pas Anarchiste ! merci d’arrêter d’écrire des conneries dans les commentaires !

11 years назад

Pierre Le Bec

Makhno était anarchiste ne l'insulte pas ! Lit le livre de Skirda : "Nestor Makhno : le cosaque libertaire, 1888-1934 ; La Guerre civile en Ukraine", tu verras Makhno a fait de la prison sous Nicolas II car il était anarchiste !

11 years назад

Pierre Le Bec

Tout à fait d'accord avec toi, je suis communiste, j'aime vraiment l'approche de Makhno. Mais ce n'est pas du tout pareil :). Mais les quatre barbus du communisme libertaire de Bakounine :).

11 years назад

Bzh korrig

L'Anarchie triomphera !!!

11 years назад

Seekiu

Makhno était communiste, c'est à toi de ne pas confondre communisme et marxisme.

12 years назад

Ali Benamara

révolution mondiale aux armes

12 years назад

Antifafs

Par delà l'illusion d'une réalité,Au-delà toute apparence,Au-delà faux semblants,Divine Comédie;En temps de désespérance,Aux moeurs étranges de l'Argent,J'entends la vie,un éternel enchantement m'appeler à trouver un sens.Nul doute que mon entendement,Riche de rencontres au cour du temps,Indolent témoin,confident,Sait l'Humain doué de conscience.Je suis ta conscience,Celle des morts,des vivants, collective,unique,À travers toi,lui,nous,Ni bon,ni mauvais,sans dieu ni maître,un anarchiste,F.Sodar

12 years назад

pilotigasse

On a souvent connus la prison, mais c'est la qu'on a écrit les plus belles chansons. Salut !

12 years назад

baZicsprods

Les catastrophes écologiques sont déjà trop importantes le keynésianisme est excellent mais ne pourra rien y changer. De toute façon, les économistes actuelles sont en majorité des néo-libéraux.

12 years назад

samados969

Le capitalisme ultra libérale, oui, pas celui de Keynes

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