Brille encore,
Il paraît qu'en Avril il fera beau,
Et les oiseaux se foutent bien des grilles,
Crie encore.
Hey ho.
Y'en a marre on va pas se laisser faire,
Il paraît qu'en septembre c'est la fin
Tout ça semble un peu communautaire
Jusqu'en Juin
Et à n'veau,
Octobre a plus d'une corde à son fusil,
A la volée, plus d'un contestataire,
C'est la bande à pas fier qui le dit,
C'est pas rien.
C'est pas rien, laissez nous la bohème,
Elle les cris, de travers,
C'est pas rien de nous laisser sur terre,
Quand le vent nous soulèverait bien.
On ira,
Où tu voudras si c'est moi qui commande,
S'ils nous attendent au fond de leurs chapeaux
On ira.
Tout haut
Des gros mots démodés qui nous ressemblent,
Les mots dits feront semblant d'être beaux,
La modestie c'est pas quand les mots tremblent,
Entends bien min salaud
C'est pas des choses à dire à tes bretelles,
C'est providentiellement costaud,
Faut pas militanter les arcs-en-ciel,
Puisque rien...
Puisque rien laissez-nous la bohème,
Et les cris, de travers,
Puisque rien me laissez pas sur terre,
Si c'est pour jouer les clandestins.
Des gros mots démodés qui nous ressemblent,
Les mots dits feront semblant d'être beaux,
La modestie c'est pas quand les mots tremblent,
Entends bien min salaud
C'est pas des choses à dire à tes bretelles,
C'est providentiellement costaud,
Faut pas militanter les arcs-en-ciel,
Puisque rien...
Puisque rien laissez-nous la bohème,
Et les cris, de travers,
Puisque rien me laissez pas sur terre,
Si c'est pour jouer les clandestins.
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