Je regarde mes mains qui me rendent si coupable
D'abandonner en chemin d'être aussi vulnérable
Je sens dans mes reins ces zébrures indicibles
Que je creuse de mes mains
Comme des flèches mangent la cible
Et j'abhorre cette misère, qui me prend par derrière
Qui me traîne dans la boue, et qui me tient par le cou
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