Jedi Mind Tricks - I against I (Instrumental) скачать видео бесплатно

Justin Soto

Sugar cookiesSugar cocaineGummie wormsDummie book wormsA losers methodA winners brainstorm

Nil Pujolràs

Life’s tough though,or else I’m weak as shitcurtains down for the dayImma fire a spliff,the world wolves cant get melaying in my bedstay close to the entrancethe end is nearHollow people, maniacs and jokerscyberagonists on top commercials?man up. society’s so recklessdistrust the politician and_ ignore what the priest saysthere’s no recess nowI’m going mentalhaste makes wasteand I be standing stilllike an owlpaid by the hoursponsoring this parietal ache(make it stop for fvck’s sake!)

MrGamersdu26

[Intro : Oli]
Bigflo et Oli
Un freestyle de plus, ou p't-être plus qu'un freestyle
L'album arrive, l'album arrive

[Couplet 1 : Oli]
Eh yo, est-ce que quelqu'un m'écoute ? Tant pis, d't'façons
J'rime dans le vide, passons, j'écris des p'tites chansons
Si Dieu existe, Dieu merci, j'respire
Et j'aspire à un avenir, fils, face aux filles, j'reste clean
Même si beaucoup parlent, ici, peu agissent
Nous abrutissent de toutes parts, rêvent qu'on s'assagisse
Est-ce que c'est ça, la vie ? Chercher c'qu'il y a après ?
Armé, j'profite en cas où elle m'échapperait
Avant la fin du match, j'suis couché sur l'tatami
J'fais pas grand chose pour voir mes amis, m'éloignant d'ma famille
Au ralenti, naviguant dans ma vie, qu'est ce qu'il m'arrive ? Le chant m'ravit
Ma rime grandissante, ma lime hante mes nuits
Et j'm'imagine dans dix ans, quelle panique quand j'y pense
J'sais même plus si j'mens quand j'm'exprime gentiment
Esprit en ciment, enivrant, comptant sur la chance
D'un adolescent chiant et souffrant en silence
J'ai d'la bouteille dans mes vers, mon frère un talent fou
J'suis galant, pour moi, c'est la musique avant tout
Voir des pauvres types abrutir nos petits frères, c'est rageant
Bientôt, j'tenterai l'concours pour rentrer dans l'école du micro d'argent
J'me dévoile et j'me rhabille, j'bouge
Un attentat dans une maternité, c'est pas un Baby-boom
C'est pas demain qu'y'aura plus d'guerre, j'imagine bien
Ils ont caché la colombe de la paix dans l'chapeau d'un magicien
J'ai peur du noir, j'sais pas m'battre mais ça m'gène pas
Dans l'feu d'l'action, j'entends des voix, un peu comme Jeanne d'Arc
J'm'acharne car je l'aime fort et jamais j'abandonne, le rap est mort
Mais j'crois aux fantômes
Mon art, l'essence de mon âme, néo-Léonard
Renaissance, une nouvelle arme, fléau contre tous ces connards
Bigflo, c'est Oli, Oli, c'est Bigflo : c'est pas un groupe mais un solo
J'remplis mes vers de larmes mais les gens n'y voient que de l'eau
La vie est un looping, fais gaffe à la descente, aujourd'hui
J'suis à Brooklyn, demain, j'serai seul dans ma chambre
Le poids des mots est puissant, sois prudent, tu serais sympa
Il n'y a qu'un "pas" entre "je t'aime" et "je t'aime pas"
J'ai tout mis dans mes textes, délaissant mes biceps
Ça s'bouscule dans ma tête depuis quatre-vingt-dix-sept
Alors c'est vrai qu'on s'couche tard et qu'on enchaîne
Le rap, c'est comme la moutarde, moi, j'l'aime à l'ancienne
Le vent tourne, grâce à vous, on va voler ensemble
À ma naissance, j'ai compris qu'ma mère en avait dans l'ventre
Apprenti dans l'rap, c'est ici qu'j'ai fait mes classes
Semi autiste, frère d'E.T, j'rêvais d'laisser une trace. Oli
[Pont : Bigflo]
Bigflo ! C'est mon tour, ok
En direct de New York. Ok

[Couplet 2 : Bigflo]
C'est bizarre, y'a du Léonard dans mes rimes
Donc si j'te parle d'une fille, j'parle de Mona Lisa
C'est mon analyse, j'suis un chameau dans un blizzard
J'rêve de l'autre coté du miroir
J'suis dingue, faut qu'je freine
Pourquoi j'te parle de tout ça ? Toi t'as déjà tes problèmes
Tu veux qu'j'te fasse rêver ? Tu veux qu'j'te fasse envie ?
Que j'parle de flingue et de blé mais j'peux pas t'mentir
Non, moi, c'est Bigflo, rappeur, j'habite sur la Lune
Hip-Hop, valeurs, gravés sur la plume
Moi, j'rappe depuis tout p'tit, il m'a tout pris, c'est pas du tout cuit
Un jour, tu m'aimes, un jour, tu m'oublies
J'rappe, ouais, j'rappe pour mes frères
Souvent j'craque à cause du trac, j'peux pas m'en défaire
J'suis vraiment déter', faut pas que j'me rate
Ma bulle, je l'éclate et je demande de l'air
Un air de Baudelaire, j'suis ce nouveau poète
Ma sœur est une comète, fils de l'étoile polaire
Si tu m'attaques, poto, fais pas l'con
Ces mecs sont plus baraques, mais c'est moi le patron
Et j'n'accepte pas le pardon ; tu restes, nous partons
J'balaye les confettis d'une amitié en carton
Laisse tomber les muscles, le plus fort, c'est l'esprit
Les filles des magazines ne sont pas celles qu'on estime
Entouré d'rappeurs aux morales en plastique
J'ai sauté dans l'vide, ils ont coupé l'élastique
Et je glisse doucement en pensant à tous ces gens qu'j'aime
Ils ont coupé l'élastique, mais j'rebondis quand même
Plus on essaye de courir et plus la vie nous rattrape
J'ai plus souvent pensé à mourir qu'à arrêter le rap
Donc j'inspecte la musique et suis ses lois
J'ai rêvé d'être à New York mais je crois qu'j'suis mieux chez moi
Ma ville, je l'aime, c'est fou comme elle est belle
On vient d'une ville pas très connue donc on sera plus connus qu'elle
J'ai pensé à ceux qui sont partis et qui nous manquaient tant
Alors j'ai cassé ma montre, j'ai pas pu arrêter l'temps
S'ils savaient ce que c'est la vie dure, il n'ont pas l'habitude
Les rêves de princesses noyés dans de l'huile de friture
Parce qu’il faut bien remplir le frigo, amigo
On nous jettera des fleurs quand ils fermeront le rideau
Le prince est dans la salle, élancé dans son art
Écartez tout, évadez-vous, visitons l'au-delà
Si vous êtes prêt, faites-nous un signe
Vous comprendrez si vous savez lire entre les lignes
Et, toi, tu t'en tapes, mais pourquoi j'te parle ?
Il faut qu'j'me calme, ouais, c'est vrai, des fois, j'm'emballe
De toutes façons, cette histoire, ça va finir mal
Le rap : soit ça marche, soit j'me tire une balle

OVERLORD 32

Rip my limbs off I bleed with pain anxietys the only feeling pulsing through my veins an we not the same your not like me see you'll take a bat to the back of the head but I would rather see the last breath taken gasp as your lungs pop I cast to Satan...

Drew Khani

smoooze.

Antoine BIOTEAU

Sample: Cal Tjader - What are you doing for the rest of your life

Maria Escobar

Im just tryna accept i neglected the fact i once had and canstill have anything i want. Man whats life with no remorse. Dont lose yourhead dontbe

Cyrus Graham

STAR WARS PHANTOM MENACE TRICKS. SEPTEMBER 7-14, 2004

brandon gil

I really try to be the answer to your pain and sorrow and show you courage when your blind to follow empty bitch my past was hard to swallow shifting mood while my mind is in a mental status killer instinct. Maybe I'm just faceless blood is so tasteless. Talking to myself to see when my end can take me sorry don't mistake me for these others god is over watching my he'll as I love my brother still I bear scares always ready to snap that'll be the death today yea a promiment displace and what it show

mike lombard jr

Devil In My Mind lucifer on my linealways stressing on dem dimes all i do is fucking shineput it on my track gotta get a better act im ruthless, better know that matter fact i always get the sackgot a black thrasher hatalways ready to scrapti put him on fucking blastand it all happened so fast now im getting all this cash step up to my gang & get slashedsip it dip it rip itlike we always flip itget the guap never fuck with a thotdrinking the double cup thinking about this come up i never gave 1 fuck now you tripping on my lineall i wanna do is shinecome up and fucking rise names mike and im always wisehopefully you will realize that its not about my size so dont go out an hideyou'll never be alright try stepping into my mindcouldnt step up to my plateeven if you did tryi rap i never fucking liedont be upset cause you cant step up to my statethis aint no debate i aint kevin gatesbut i always be in the race puffing bowls in the hazeyoung smiles with that bassphatzak smashing your girls face

Ari Fried

these historical oracles tell the divine truth of the false narrative brain fed to usthese waves have electrical currents that make the populace brain dead to ustruth is words are a manipulation and we're only taught to spell their shitdoesn't matter, that's why our brains run loops around the blasphemous like an orbit

shira rodbina

jutrs usto sam srecanzelim da ovaj dan je vecantecan ko med i mlekone znam ko ti i je sta rekosamo zelim biti dalekopogled leti prekogrenice,dok ispisujem nove stranice jea u dzepu ipak nula jebula je to sto suma jeta koja vrti svet5 sprzim za casbas tone u zeljizivim u 3 smenidal ostace covek u meni tesko operace rekegrehe na rukamazika u usimaidalje vrtim se po istim klupamaali ne i u istim grupamami smo nekad bili jednovredno bar je ostalo pomenemrzim promeneova zika vuce moje korenenajdublje stvari iz menevreme pravi pokazateljiko je dosledan pravcu kojem tezi....

Seongmin Jung

간밤의 악몽을 떨치고 일어난 머리맡엔따사로운 햇볕대신 지독한 고독과 나태소망을 잃고 두려움만이 홀로된 아침은그 마무리가 그려지듯 전개가 뻔한 비극규정된 낮과 밤을 가늠 할 수 없는 짧은 하루가 아득하군생기 없이 흩어진 이불 따위와 구겨진 옷가지들의 푸념만이 이 삶의 가치를 대변하지모두가 눈감은 일상의 구석진가림막 안쪽 생의 권태를 그렸지헝클어지고 불편한 열기로 후덥지근하게 가라앉은 방안의 공기가 무겁지무력히 집어든 낡은 연필 한 자루의 동선을 따라 써내려갈뿐 끝없이숨이 막히도록 굳게 자리 잡은 어둠의한가운데 미동 없이 날이 선 눈매[HOOK : SIENE]and Why Don't You Love Meand Why Don't You Feel Meand Why Don't You Take MeI'm Just a Flower[Verse2]잠이 들면 나타나고 눈을 뜨면 사라지는 잔상만이 남아 있는 꿈이라는 허망한 이름흐릿한 기억의 형체를 놓치지 않으려손길을 따라 빚어내는 무정형의 하루여광활한 백지 위에 가득하게 펼치는 간절하면서도 닿을 곳 없는 편지들쓰다 버려지는 종잇장이 구겨지듯 다신 펴보지 못할 후회의 문장은 없기를바라만 봐도 숨이 막히는 거대한 인공의 아치 그 아래 외롭게 활짝 핀 붉은 꽃 한 송이의 향기는 어디도 닿지 못하고 이른 이별을 맞지그건 세상에 내민 화해의 몸짓 혹은 고고하게 솟은 밤을 비추던 작은 보물과연 무엇이 그 자릴 채울 수 있을까익숙한 내 목소리가 거리엔 없던 이유일까and Why Don't You Love Meand Why Don't You Feel Me Break Me Right Now Take MeI'm Just a Flower무언가를 애타게 적고 그려내는 자예술가 그는 어떻게 유배되는가자신으로 부터 시작해 돌아오는 투쟁은걸친 고독의 무게를 옮기는 수행사랑받지 못한 채 살아남지 못한 죄닮아가지 못한 채 달아나지 못한 죄한순간 스치우는 바람 같은 야망다만 내 값진 언어의 재료가 되진 않아작품 속에 모든 걸 말할 순 없어너와 난 이로써 완전한 작별을 이뤘어그 간극을 깨닫게 된 순간부터나는 무한한 가능성 그 앞에 마주서and Why Don't You Love Meand Why Don't You Feel Meand Why Don't You Take MeI'm Just a Flowerand Why Don't You Love Meand Why Don't You Feel Me Break Me Right Now Take MeI'm Just a Flower

George Hosking

STAB A DOG STAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG STAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOGSTAB A DOG

Artur Grygierczyk

The definition of loneliness, is the solitude of erroneous, when meeting a loved one only feels acrimonious, cycle harmonious, into the abyss of lonely months, reversed intellectual reflection reflecting my amygdala brain section interconnection, objection, intellect is subjective perfection of the mathematical abstraction on the cerebral cortex for social protection.

Le gamer du 71

Eh yo, est-ce que quelqu'un m'écoute ? Tant pis, d't'façonsJ'rime dans le vide, passons, j'écris des p'tites chansonsSi Dieu existe, Dieu merci, j'respireEt j'aspire à un avenir, fils, face aux filles, j'reste cleanMême si beaucoup parlent, ici, peu agissentNous abrutissent de toutes parts, rêvent qu'on s'assagisseEst-ce que c'est ça, la vie ? Chercher c'qu'il y a après ?Armé, j'profite en cas où elle m'échapperaitAvant la fin du match, j'suis couché sur l'tatamiJ'fais pas grand chose pour voir mes amis, m'éloignant d'ma familleAu ralenti, naviguant dans ma vie, qu'est ce qu'il m'arrive ? Le chant m'ravitMa rime grandissante, ma lime hante mes nuitsEt j'm'imagine dans dix ans, quelle panique quand j'y penseJ'sais même plus si j'mens quand j'm'exprime gentimentEsprit en ciment, enivrant, comptant sur la chanceD'un adolescent chiant et souffrant en silenceJ'ai d'la bouteille dans mes vers, mon frère un talent fouJ'suis galant, pour moi, c'est la musique avant toutVoir des pauvres types abrutir nos petits frères, c'est rageantBientôt, j'tenterai l'concours pour rentrer dans l'école du micro d'argentJ'me dévoile et j'me rhabille, j'bougeUn attentat dans une maternité, c'est pas un Baby-boomC'est pas demain qu'y'aura plus d'guerre, j'imagine bienIls ont caché la colombe de la paix dans l'chapeau d'un magicienJ'ai peur du noir, j'sais pas m'battre mais ça m'gène pasDans l'feu d'l'action, j'entends des voix, un peu comme Jeanne d'ArcJ'm'acharne car je l'aime fort et jamais j'abandonne, le rap est mortMais j'crois aux fantômesMon art, l'essence de mon âme, néo-LéonardRenaissance, une nouvelle arme, fléau contre tous ces connardsBigflo, c'est Oli, Oli, c'est Bigflo : c'est pas un groupe mais un soloJ'remplis mes vers de larmes mais les gens n'y voient que de l'eauLa vie est un looping, fais gaffe à la descente, aujourd'huiJ'suis à Brooklyn, demain, j'serai seul dans ma chambreLe poids des mots est puissant, sois prudent, tu serais sympaIl n'y a qu'un "pas" entre "je t'aime" et "je t'aime pas"J'ai tout mis dans mes textes, délaissant mes bicepsÇa s'bouscule dans ma tête depuis quatre-vingt-dix-septAlors c'est vrai qu'on s'couche tard et qu'on enchaîneLe rap, c'est comme la moutarde, moi, j'l'aime à l'ancienneLe vent tourne, grâce à vous, on va voler ensembleÀ ma naissance, j'ai compris qu'ma mère en avait dans l'ventreApprenti dans l'rap, c'est ici qu'j'ai fait mes classesSemi autiste, frère d'E.T, j'rêvais d'laisser une trace. Oli

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